2° concours - Le meilleur RP

Comme vous avez pu le deviner, le deuxième concours sera celui du meilleur RP.
Après le succès du premier et le nombre de participants assez surprenant, nous avons décidé de corser les choses en créant notre propre barème que voici:

Idées: 40%
Orthographe: 15%
Taille du RP: 20%
Présentation: 10 %
Respect de l'Univers de JK Rowling: 10%
Respect des "consignes": 5%

Le début du RP (à souligner et à reprendre lors de votre participation):
[*** Votre personnage]

Le soleil venait de se lever. *** n'était, bien evidemment, pas encore réveillé. Heuresement pour lui, c'était un dimanche matin et tout le monde savait à Poudlard se que signifiait le dimanche matin: pas de cours, déjà, pas de Rogue, pas de Minerva Mc Gonagall ou de Dolores Ombrage, enfin, aucune personne détestable. Et oui ! Tout le monde aimait le dimanche matin car, ce jour-là, on pouvait rencontrer qui on voulait, faire ce qu'on voulait, et tout ça sans être suivi par Peeves qui passait sa journée dans la forêt interdite. Mais cette journée là n'allait pas être celle de tous les dimanches ...

*** [vous continuez !]

• Ce n'est pas très grave si le texte ne concorde pas avec votre personnage
  
• Tout a été mis au masculin, pour les filles, n'oubliez pas d'acorder !!
  
• Les règles d'écritures habituelles doivent être respéctées et seront notées dans la partie orthographe (donc suivez-les à la règle et éviter les fantaisies tel que les pensées en gras etc).
  
• Si vous êtes un adulte, ce n'est pas bien grave de ce mettre une fois dans la peau d'un élève et nous imaginerons alors que c'était son enfance ...
  
• Pas de commentaires ici, seulement les partiticipations: un autre sujet sera créé pour les questions.
  
• Les récompenses aussi seront données dans le sujet pour les questions.

Voici mon RP ( je ne savais pas si j'avais le droit de faire parler d'autres personnages , donc si je n'avais pas le droit , j'éditerais )


Le soleil venait de se lever. Hermione n'était, bien évidemment, pas encore réveillée. Heureusement pour elle, c'était un dimanche matin et tout le monde savait à Poudlard se que signifiait le dimanche matin: pas de cours, déjà, pas de Rogue, pas de Minerva Mc Gonagall ou de Dolores Ombrage, enfin, aucune personne détestable. Et oui ! Tout le monde aimait le dimanche matin car, ce jour-là, on pouvait rencontrer qui on voulait, faire ce qu'on voulait, et tout ça sans être suivi par Peeves qui passait sa journée dans la forêt interdite. Mais cette journée là n'allait pas être celle de tous les dimanches ...
En effet , cette journée n’allait pas du tout être comme tous les dimanches si convoités.
Il était 9h30 , Hermione se réveillait tout doucement…Lorsque son hibou arriva en pic sur elle, ce qui la fit sursauter. Il tenait une lettre dans son bec qu’il lui donna puis s’envola.
Hermione , à moitié réveillée , ouvrit la lettre avec de petits yeux , elle voyait trouble. Elle sortit la lettre de son enveloppe et se mit à la lire, malgré sa vue trouble du matin.
Elle n’arrivait pas à voir ce qui était écrit , elle se frotta fort les yeux et retrouva vue normale. Elle se remit donc à lire cette fameuse lettre. Des larmes se mirent à couler en abondance pendant qu’elle lisait sa lettre , et ces larmes continuèrent de couler bien après. Après avoir finit de lire la lettre provenant de Londres , plus particulièrement de son père , elle la reposa sur la petite table se trouvant près de son lit , s’allongea et se mit à éclater en sanglots.
Une amie à elle qui était levée et marchait dans le dortoir l’entendit pleurer et alla la voir.
Elle lui demanda doucement :

« Hermione , qu’est-ce qu’il se passe ? »

Hermione , les yeux trempés par toutes ses larmes coulées , leva la tête vers son interlocutrice, et lui répondit entre deux reniflements :

« C’est…C’est cette lettre… »
En disant ces paroles , elle indiqua d’un signe du doigt la lettre posé sur la petite table.
Son amie se permit de la lire , se disant que si elle n’avais pas le droit , Hermione l’arrêterait avant…Mais Hermione ne l’arrêta pas , ce qui voulait donc dire qu’elle avait le droit et pratiquement le devoir de la lire…
Sa jeune amie ayant terminée éprouva une profonde peine pour Hermione , et ne savait trop quoi lui dire pour la consoler…

« Je…Je suis vraiment désolée Hermione…Je ne sais pas quoi te dire de plus… »

Hermione lui adressa un petit sourire et lui dit :

« Merci… »

Son amie partit , après l’avoir salué…
Hermione , après avoir retrouvé la plupart de ses esprits , descendit dans la salle commune à la recherche d’Harry et Ron pour leur annoncer la triste et pénible nouvelle pour Hermione.
Après plusieurs temps d’attente du côté d’Hermione , ils arrivèrent dans la salle commune et s’approchèrent d’Hermione , voyant que ça n’allait pas fort…Elle prit la parole :

« Ma mère est décédée ce matin…Mon père vient de me l’apprendre par une lettre accroché à la patte de mon hiboux… »
elle baissa la tête et d’autres larmes se mirent à couler

Ron et Harry n’y croyaient pas , ils la réconfortèrent pendant à peu près 15 minutes , puis celle-ci reprit ses esprits et leur sourit , contente qu’ils l’aient réconforté ainsi.
Puis , Ron proposa :

« Hermione , pour te changer les idées , on a qu’a aller au parc qu’est-ce que tu en dis ? »

Hermione répondit :

« Oui pourquoi pas ! »

Ils se mirent donc en route vers le parc , et y arrivèrent peu après. Non loin de là où ils étaient , se trouvaient Fred et Georges , les deux frères à Ron , en train de rire comme des malades…
Hermions se demandait ce qui pouvait bien les faire rire ainsi , comme Ron et Harry le pensaient également.. Après quelques temps d’attente , Ron décida d’aller leur poser la question , laissant seuls Hermione et Harry pendant peu de temps , juste le temps d’aller poser la question à ses frères.
Ces deux derniers étaient en train de rire , car la lettre qu’avait reçut Hermione n’était autre qu’une blague , pas marante certes , de ces deux plaisantins. Quand Hermione l’apprit , cela lui fit un soulagement incommensurable et inexplicable , mais également une grande heine , car ce n’était pas bien de faire des blagues dans ce genre là…Enfin bon , l’histoire se terminait tout de même bien et les trois amis rentrèrent à la salle commune…Après qu’Hermione se soit quelques peu vengées des deux jumeaux évidament , il n'ont eut que ce qu'ils méritaient ! Faire des frayeurs pareilles ! C'est totalement cruel…

Le soleil venait de se lever. Mimi n’était bien évidemment, pas encore réveillée. Heureusement pour elle, c'était un dimanche matin et tout le monde savait à Poudlard ce que signifiait le dimanche matin: pas de cours, déjà, pas de Rogue, pas de Minerva Mc Gonagall ou de Dolorès Ombrage, enfin, aucune personne détestable. Et oui ! Tout le monde aimait le dimanche matin car, ce jour-là, on pouvait rencontrer qui on voulait, faire ce qu'on voulait, et tout ça sans être suivi par Peeves qui passait sa journée dans la forêt interdite. Mais cette journée là n'allait pas être celle de tous les dimanches...
Mimi se réveilla plus tôt que d’habitude : ça cognait dans ses tuyauteries. La petite fantômette eut bien du mal à ouvrir les yeux, mais une fois cela fait, elle réalisa que les ‘boum boum’ de son rêve n’était que réalité. Très énervée de ce réveil inhabituel, Mimi passa dans deux ou trois tuyaux, pour trouver d’où cela venait. Elle trouva enfin : elle était dans un tuyaux du troisième étage, l’étage interdit à l’époque de la pierre philosophale. Pour ne pas éveillé de soupçon, ce couloir était resté interdit, et jusqu’à aujourd’hui, personne n’y était rentré. Encore moins pour taper sur les tuyaux et réveiller Mimi !
Mimi décida de se préparer et de venir voir ce qui se tramait. Elle refit le chemin dans les tuyaux en sens inverse et se retrouva chez elle, assez rapidement. Elle émergea de sa cuvette dans un PLOUF sonore et se retrouva dans les toilettes des filles. Déconcertée par l’évènement inhabituel de ce dimanche matin, elle ne savait plus par quoi commencer, et ses yeux bougeaient dans tout les sens, son cerveau tentant de se rappeler par quoi elle commençait habituellement un dimanche. Un gros mal de tête la prit finalement, et elle dut s’asseoir un instant pour reprendre ses esprit. Elle resta comme cela cinq minutes, et sa tête arrêta de bourdonner. Cependant, son fond sonore était toujours rythmé par les réguliers coup qui étaient attribué aux tuyaux. Myrtle se leva et s’avança vers les robinets. Elle les ouvrit un par un, comme d’habitude, mais son entrain était moindre. Une fois qu’ils furent tous ouverts, elle alla devant la glace et se réajusta. Elle laissa sortir trois larmes, mais son mal de tête revenait. Et les ‘boum boum’ réels se rapprochaient.
Finalement, elle ferma chaque robinet, lentement, et décida qu’elle ne pouvait rien faire. Elle décida également de s’en remettre au jugement de Minerva.
C’est pourquoi, ce dimanche matin très tôt, on put voir la fantômette dans les couloirs de Poudlard, qui se tenait la tête et qui s’arrêtait de temps en temps. Elle se dirigeait vers le bureau de l’actuelle directrice. Les boum boum ne cessaient pas et ils suivaient Mimi dans son avancés. A un moment, elle se retourna soudainement, et crut apercevoir une silhouette. Pendant un instant, les bruits cessèrent. Mais quand la fantômette reprit sa marche dans le bon sens, ils reprirent. Cependant, cela fit réfléchir Mimi, qui décida de changer ses plans.
**Finalement, je vais peut-être attendre de voir un peu plus clair dans tout ça avant d’aller embêter Minerva !**
La silhouette bleue de la fantômette cessa de bouger, alors qu’elle était à deux pas de la porte du bureau de MacGo. Elle s’assit un instant et repensa à la veille : en s’endormant, elle ressentait déjà un mal de tête. Donc, elle était peut-être un peu malade. Mais le fait que quelqu’un s’amuse à l’embêter, ce jour là exactement, n’aidait pas !
Après avoir beaucoup réfléchit, elle arriva à la conclusion que quelqu’un lui voulait du mal, et s’amusait à l’embêter, profitant qu’elle ait mal à la tête. Mimi la Fontaine décida donc d’user de ses droits de fantômette : elle passa à travers le mur, tentant de calmer sa tête qui cognait, elle aussi. Bizarrement, elle n’avait rencontré personne. Mais il était tôt, et peu d’élèves sortaient tout de suite de leur salle commune le dimanche. Elle passa donc a travers le mur et se retrouva dans un salle vide et noire. Elle s’approcha de l’origine des coups, qui était de l’autre côté du mur, et repassa à travers le mur. Devinez sur qui elle est tombée : une petite Serpy, qui ne retint pas un cri strident quand Mimi apparut à ses côtés.
Eh bien, mademoiselle ?
Cette demoiselle était Pansy Parkinson. Cette année, ce n’était pas elle la préfète de Serpentard. C’est Drago qui l’avait envoyée. Cela, elle mit beaucoup de temps à l’avouer. Mimi trouva rapidement l’arme du crime : un bâton de bois raide et court.
Le mal de tête de Mimi la reprenant, elle décida d’amener Pansy à Minerva McGonagall, de la laisser régler ça, et elle de se rendre à l’infirmerie.

[il est un peu long et pas vrament finis, mais je me suis dit que vous alliez peut-etre posté une suite pour chacun. Si non, je continue ^^]

Le soleil venait de se lever. Drago n'était, bien évidemment, pas encore réveillé. Heureusement pour lui, c'était un dimanche matin et tout le monde savait à Poudlard ce que signifiait le dimanche matin : pas de cours, déjà, pas de Rogue, pas de Minerva McGonagall ou de Dolores Ombrage, enfin, aucune personne détestable. Et oui ! Tout le monde aimait le dimanche matin car, ce jour-là, on pouvait rencontrer qui on voulait, faire ce qu'on voulait, et tout ça sans être suivi par Peeves qui passait sa journée dans la forêt interdite. Mais cette journée là n'allait pas être celle de tous les dimanches, surtout pour Drago.
Le jeune homme était dans son lit, enfoui sous ses couvertures, les rayons du soleil passant à travers les rideaux du dortoir. Il se redressa, un sourire aux lèvres. Dimanche matin … tous les élèves seraient dans le parc, tranquillement en train de discuter de choses plus stupides les unes que les autres, ou bien à réviser, comme le ferait sûrement Granger. Mais Drago avait d’autres projets. Habituellement, il passait son dimanche dans le parc, à chercher qui il ridiculiserait devant tous les autres, même si en général, il ne mettait pas longtemps à se décider et jetait son dévolu sur Harry, Ron et Hermione. Mais aujourd’hui, Drago avait autre chose en tête. Il devait réussir à pénétrer dans le bureau d’Ombrage pour récupérer des papiers concernant le ministère de la Magie, qu’il devrait remettre au Seigneur des Ténèbres. C’est avec cette idée en tête que le jeune Malefoy se redressa, repoussant ses couvertures. Il se leva, et sentit un frisson le parcourir au contact du sol froid. Le jeune garçon chercha à tâtons son uniforme avant de se diriger vers la salle de bain, sans faire le moins du monde attention à ne pas réveiller ses camarades. Alors qu’il entrait dans l’autre pièce, Crabe se redressa et grommela :

" Drago … tu pourrais faire moins de bruit ! "

Il eut un sourire ironique. Crabe était vraiment stupide. S’il croyait qu’il allait lui prêter la moindre attention une seule fois durant toute leur scolarité, il se trompait. Drago ne prit même pas la peine de répondre, et entra dans la salle de bain. Le jeune homme ne put s’empêcher de se contempler dans la glace. Il se passa une main dans sa chevelure blonde et sourit. Ses cheveux, c’était l’une de ses plus grandes fiertés. Pourquoi me demanderez-vous ? Tout simplement parce que les avoir d’un blond presque blanc comme ceux de Drago, c’était l’une des caractéristiques principales de la famille Malefoy. Le jeune homme portait son nom avec une fierté incomparable, et il ne le cachait pas. Cela faisait de lui un grand vantard prétentieux, mais peu lui importait. Surtout cette année. Il repensa à ce qu’il avait à faire le jour même, et une angoisse sans nom le pris au ventre. Si il échouait ? Si il se faisait prendre ? Dolores était certes une vielle bonne femme désagréable qui continuait à croire que Voldemort n’était pas de retour, mais elle n’était pas stupide sur les intentions de ses élèves. Drago savait que si il se faisait pincer, il aurait dû mal à en sortir indemne. Une idée lui vint soudain … il devait faire en sorte que Crabe et Goyle attire le vieux crapaud en dehors de son bureau, avant d’essayer d’y pénétrer. Il eut un sourire satisfait, et s’empressa d’enfiler son uniforme et d’épingler avec fierté le blason de Serpentard. Il sortit en trombe de la salle de bain, et avant que Crabe, Goyle, ou n’importe quel autre élève présent dans le dortoir est pu faire la moindre remarque, il se mit à crier, tout en secouant les deux lourdauds qui lui servaient plus de garde du corps que d’amis.

" Debout vous deux ! Dépêchez vous ! "

Crabe se redressa et se frotta les yeux avant de regarder Malefoy sans comprendre ce qui se passait. Quand à Goyle, il se retourna dans son lit et grommela. Drago, agacé de voir qu’il ne bougeait pas s’approcha de lui et retira ses couvertures d’un geste sec.

" Allez ! On n’a pas que ça à faire aujourd’hui, alors dépêche toi de faire en sorte de lever tout ce gras et de t’habiller ! " s’éloignant de quelques pas en direction des escaliers menant à la salle commune, il ajouta : " rejoignez-moi en bas, tâchez de ne pas me faire attendre trop longtemps ! " Sur ces mots, il descendit les marches.

Crabe et Goyle était encore sonné par ce réveil un peu trop brutal à leur goût. Mais ils firent sans discuter ce que venait de leur demander Drago. Habillé dans leur uniforme aux couleurs de Serpentard, ils rejoignirent le jeune Malefoy dans la salle commune. Celui-ci avait chassé un élève de première année du fauteuil le plus confortable de la pièce, et il s’était empressé de prendre sa place. Les pieds posé sur la table basse devant la cheminée, il souriait en coin. Quand les deux garçons le rejoignirent, Drago leur fit signe de s’asseoir, et sans perdre de temps, il leur expliqua le plan :

" Tous les deux, vous allez vous débrouiller pour attirer Ombrage hors de son bureau, pendant ce temps là, je pourrais y entrer sans problème, c’est d’accord ? "

Il les regarda, cherchant à savoir si ils avaient compris. Voyant qu’ils approuvaient d’un signe de tête, il sourit satisfait, et après leur avoir donné quelques détails complémentaires, il les suivit du regard, se diriger vers la sortie de la salle commune. Drago était assez contente de son plan, et il doutait qu’un problème quelconque puisse le faire échouer. Quelques secondes après le départ de Crabe et Goyle, il se leva à son tour, et sortit de la salle commune des Serpentard. Il traversa le cachot, froid et lugubre, avant d’arriver dans le hall. Faisant comme si de rien n’était, il prit soin de remettre à leur place un groupe de Serdeigle, un peu trop bruyant qui regagnaient le parc. Il monta les étages qui le séparaient du bureau d’Ombrage, et posa la main sur la poignée. La porte s’entrouvrit, et Drago félicita Crabe et Goyle dans sa tête. Ils n’étaient pas aussi stupide qu’il aurait put le penser. Entrant dans le bureau, il prit soin de refermer la porte le plus doucement possible. Se retournant, il poussa un soupir de contentement, et s’avança vers le bureau du professeur. Il ouvrit les tiroirs, fouilla dans les dossiers, les boîtes, et au bout de plusieurs minutes, il découvrit enfin ce qu’il cherchait. Il prit le dossier dans sa main, et sortant sa baguette magique, il le métamorphose en un simple livre. Satisfait du résultat, il s’empressa de quitter les lieux, en vitesse. Lorsqu’il rejoignit enfin la salle commune de Serpentard, il monta dans son dortoir, vide à cette heure-ci, et rangea le livre dans sa valise, caché sous ses vêtements. Comme je vous le disais, la matinée de Drago avait été bien différente qu’elle ne l’aurait été si il ne s’était pas rallié au plus puissant mage noir de tous les temps : Voldemort.

Desolée de me repeter, mais quand est ce que l'on aura les resultats??