| | | [Serdaigle] Ali Heaven |  |
| | | Auteur | Message |
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Ali Heaven
Sage et réfléchi
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Année : 3ème année
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| | Sujet: [Serdaigle] Ali Heaven Jeu 3 Sep - 23:53 | |
| • - IDENTITE - •
•Age :: Alice semble bien plus âgée qu’elle ne l’est vraiment. Avec un physique aussi tendre bien que pulpeux, on a du mal à croire qu’elle vient à peine d’avoir treize ans. Mais comme le dit si bien le diction, les apparences sont souvent trompeuses…
•Année :: La jeune demoiselle vient d’entamer sa troisième année au sein de l’académie Poudlard, avec toutes les responsabilités en plus que cela implique.
•Sang :: Elle déteste les classements d’ordre et de noblesse. Pourquoi est-ce qu’un sang de bourbe vaut moins qu’un autre. Pour sa part, elle est une sang pure, enfin, en quelque sorte. Disons que la sorcellerie n’a fait son apparition qu’à partir de ses arrières grands-parents.
•Baguette :: Sa baguette est aussi légère et gracieuse qu’elle. En effet, Alice possède une baguette faite de bois de saule pleureur fraîchement taillée il y a quelques années. Ce bois est doux et gravés de flammes sur l’extrémité du manche. Elle ne mesure pas plus de vingt-cinq centimètre, mais conserve une flexibilité irréprochable. Pour terminer sur sa composition, à l’intérieur de ce bois léger se cache une plume, ou plutôt le duvet d’un phœnix.
•Maison désirée :: Ayant un tempérament de feu, un savoir à vous couper le souffle et une force de lion au combat, je pense que le mieux pour elle serait Gryffondor.
• - PERSONALITE - •
•Description physique :: Une peau pâle à premier abord, la petite Alice a souvent été surnommée petite poupée de porcelaine par son père. Que ce soit pour son caractère, cette peau douce, froide et blanche comme la neige ou ses cheveux naturellement ondulés sur les bouts. Ne mesurant pas plus d’un mètres soixante, elle a pourtant hérité toute la grâce et la beauté de sa mère. A commencé par son visage si doux et à l’air si triste à la fois. Des yeux bleus azur si profond, si intense et exprimant tellement bien ses sentiments et idées qu’il en vient difficile d’en détacher le regard. Ses lèvres sont douces et pulpeuses et d’un ton naturellement rosées. Ses joues sont sans doute la seule partie de son corps qui détient quelques peu de couleurs. Pour ce qui est de ses cheveux, ils sont aussi soyeux, longs et doux que ceux de sa défunte maman. Mais elle a hérité de la couleur chocolat-noisette de son père. Ayant été mise à l’épreuve très jeune au décès de sa douce mère, elle s’est retrouvée très vite dans le rôle de petite madame de la maison. Préparant les petits déjeuners et le linge pour la lessive, elle n’a jamais vraiment passé le stade de l’adolescence, passant de l’enfant à l’adulte sans que personne jamais ne s’en inquiète. Aussi, elle a gagné en beauté mais aussi en maturité qui se lit si bien dans ses moindres gestes ou dans le sourire qui illumine son visage. Sa voix est aussi douce que celle d’une princesse de compte de fée, naturellement attirante, ce serait comme le chant d’une sirène sous l’eau, juste pour le plaisir de vous envoûter, ou simplement par charme naturel. Pour descendre un peu sur le corps de cette demoiselle, il faut avouer qu’elle est étrangement maigre, mais aussi étrangement jolie. A treize ans, elle a déjà les formes d’une jeune femme à petite poitrine et aux hanches plates. Mettant les vêtements qu’il faut, elle peut parfaitement adopter le style d’une étudiante de seize ans et trompe facilement ceux à qui elle désire mentir sur son identité. Pour parler de ses vêtements justement, elle aime porter tout ce qui est jupes, robes courtes et tenues légères. Lorsque l’hiver se fait rude, elle porte malgré tout ses jupes, avec néanmoins de longs bas blancs sur ses fines jambes qui n’en finit jamais, laissant à peine quelques centimètres de peau pâle apparaître entre les deux morceaux de tissus. Mais ça, c’est uniquement pendant les week-end bien sure. Pour ce qui est de l’uniforme, elle porte sa jupe noire un peu plus haute que la normale, laissant apparaître ses fines jambes de menthe religieuse se divulguer jusqu’au petites chaussures noires à ses pieds. Sa chemise par-dessus, retombe sur l’étoffe noire d’une façon élégante et elle a toujours un petit truc pour personnaliser sa coiffure. Voilà en gros ce à quoi ressemble la petite Alice… Ne seriez-vous pas tentés, par hasard ?
•Qualités :: Alice est une fille au comportement irréprochable si ce n’est l’un ou l’autre détails… Pour vous parler de ses qualités, on peut dire qu’elle est débrouillarde en toute situation. Que ce soit pour s’occuper d’une maison ou d’une famille, d’un enfant ou d’un ami, pour régler un problème ou trouver des solutions, la petite poupée de porcelaine n’hésitera pas une seconde pour utiliser sa ruse et son astuce pour accomplir les tâches avec succès. Aussi, elle est du genre calme et réfléchie, ne disant pratiquement jamais quelque chose qui pourrait venir blesser quelqu’un, elle adore trouver de nouveaux mots à employer dans son vocabulaire de tous les jours. Alice est plutôt bonne élève, ayant une culture générale assez généreuse et une patience pour écouter les professeurs, qui mine de rien, en ont des choses à dire ! Pour le reste, Alice est souriante la plupart du temps, évitera toujours les jérémiades et les plaintes inutiles. Elle essayera toujours de comprendre celui qui va mal et a le cœur évidemment sur la main. Elle est timide, mais peut être généreuse et aussi câline qu’un chaton ignorant le monde extérieur. Quoi vous dire d’autres à part ceci ?
•Défauts :: Voilà une chose plus complexe déjà. Alice, à vrai dire, n’est ni une pipelette, ni une jalouse née, ni une rancunière, ni une manipulatrice. Elle ne triche pas, ne vole pas, de mord pas, elle est de ces petites élèves studieuses à qui on a rien à reprocher. Cependant… Elle a quand même un défaut… Et il est tout sauf une bonne chose pour elle. Car il faut avouer que le petit Ange de porcelaine a une horrible obsession qui lui gâche bien souvent la vie. Et ce, c’est sa phobie de l’alimentation et des kilos superflus. Si elle apparaît au premier abord assez fine, ses obsessions en sont la cause. Alice est en effet anorexique. Dure à dire, dure à dévoiler, d’ailleurs, personne n’en est vraiment certains, car elle cache très bien son jeu depuis le décès de sa tendre maman. Elle paraît si souriante et sérieuse, qu’on ne l’imagine pas être insouciante au point de ne plus s’alimenter. Et pourtant, elle est jolie, même si elle ne l’avouera jamais, elle est très jolie… Pour un autre défauts en plus de celui-ci et peut-être une trop grosse sensibilité refoulée, elle a toujours préféré les garçons plus vieux qu’elle. Il est vrai que malgré ses treize malheureuses années, la petite Alice aime particulièrement se sentir regarder par des garçons qui ne s’intéresserait pas à une fille de son age. Et cela lui cause bien souvent du tord… Mais se causer du tord de toutes les façons possible est au fond son plus gros défauts… Alors comment pourrait-elle l’éviter ?
•Signe particulier :: Depuis toujours, elle a une tache de naissance entre son ventre et la hanche droite. Celle-ci n’est pas très grande, pas plus d’une pièce de taille normale. Cette tâche à d’ailleurs la forme d’un cœur si on la regarde bien. Ce qui fait que ce n’est pas vraiment dérangeant, et même plutôt joli. Ainsi, ça rend son corps unique, en quelque sorte…
•Histoire :: Je dois vous prévenir tout de suite que l’histoire d’Alice n’est pas vraiment un compte de fée. Il paraîtrait qu’elle a subit pas mal de choses pénibles malgré son père aimant. D’ailleurs, j’en sais pas chose en fait, car la petite Alice ne parle pratiquement jamais de son passé, elle y pense souvent, mais je ne suis pas médium et donc, ses pensées restent secrètes. Mais pour vous, j’ai réussi à découvrir deux ou trois choses que je vais vous raconter…
Alice, qui ne portait alors pas encore de nom, vint au monde lors d’un petit matin de pleine lune, vers trois ou quatre heures du matin, au beau milieu du septième mois de l’année, ou si vous préférez, au début de la seconde quinzaine de juillet. Elle n’était pas très grande ni très grosse, elle tenait facilement dans deux mains, mais malgré tout, ses parents l’aimèrent aussitôt et lui offrirent le doux prénom d’Alice. Vivant dans un lieu reculé du monde des sorciers, ses parents ne cachaient pas leur dons en famille, juste devant les moldus qu’ils respectaient autant que leurs semblables. Aussi, la petite poupée de porcelaine vécu avec cet état d’esprit d’égalité entre les sangs et vécus en toute simplicité entourées de personnes normales, dotées d’aucun pouvoirs, allant à l’école avec eux et se faisant très facilement des amis dans ce monde pacifiste. Elle n’avait pas six ans, que cette enfant attendrissait déjà les plus dures et réconfortait les profs les plus sévères. Elève modèle, enfant prodigue, beauté naturelle. Elle avait tout à donner et elle aurait du recevoir tellement.
Seulement, son enfance étant courte dans ses propres récits que je ne peux vous en dire beaucoup plus. Aussi passons-nous directement à l’aube de ses onze ans, l’année où enfant, elle reçut sa lettre de la Grande école nommée Poudlard. Un honneur pour ses parents, un privilège pour elle. Elle était si fière et avait pourtant si peur de ne pas être à la hauteur. Elle avait reçu sa lettre à la fin du mois de juin, il lui restait deux mois avant que la rentrée ne se fasse. Et ce fut lors de ses deux mois que tout basculèrent… Alors qu’elle était désarmée, sans baguette magique, la mère nommée Sophie s’en alla faire les courses, comme une simple moldue dans l’épicerie du coin. Elle acheta tout ce qu’il fallu pour fêter un anniversaire digne de ce nom. Sa fille allait fêter ses onze ans et c’était une si belle année qu’il fallait qu’elle s’en souvienne longtemps. Aussi pour l’occasion, elle acheta tout pour lui faire plaisir et ayant inviter beaucoup d’amis, elle avait commandé il me semble une énorme pièce montée faite de fruits et des crème, de pépites de chocolats et de roses en sucre dans une petite boulangerie toute proche de l’épicerie. Et ce fut à ce moment précis que sa tendre maman, désarmée et sans la moindre chance de fuite, se fit tuée par un voleur armé en cavale. Il paraît qu’à la place de son anniversaire, on fêta la mort de sa mère tant adorée. Depuis, son père si doux et aimant ne s’en est jamais remit. Aussi, Alice prit la décision de tout prendre en main, commençant par apporter un petit déjeuner au lit à son papa, lui donnant rapidement la claque qu’il lui fallut : il avait une fille sur qui compter. Aussi, il lui apprit à se servir d’un poêle et à faire toutes sortes de choses que sa maman faisait auparavant. Elle était fière de prendre la place de sa douce maman.
Mais autre chose au fond d’elle hurlait et c’était bien pire que de la fierté. Tout au fond d’elle, même si elle faisait à manger de bon cœur, elle se retrouva incapable d’avaler le moindre morceau, voulant se souvenir à jamais de la cuisine de Sophie. Aussi, bientôt perdra-t-elle un kilo, puis deux, puis trois, puis cessa de monter sur la balance… Elle maigrissait à vue d’œil, mais son père encore trop abattu ne remarqua jamais ce changement de physique et cette nourriture gaspillée dans la serviette sur ses jambes. Puis vint la rentrée à Poudlard où devint plus évidant l’idée de sauter un repas. L’année passa tranquillement, elle perdit en graisse et gagna en finesse et grâce. Elle réussit son année au la main, revenant pour les vacances auprès de son père qui pour seule remarque lui dit qu’elle avait grandit et qu’elle attrapait les traits de sa défunte femme. Et Alice continua ainsi sa vie auprès de son cher père, venant bientôt ses envies de vêtements légers, de robes, de jupes, de chemises fines et de relooking des uniformes. Sa seconde année à poudlard fut toute aussi tranquille, mangeant un peu, mais uniquement ce que sa mère ne préparait pas, à savoir les fruits et peut-être un peu de pain et de céréales. Pour le reste, elle ne remangea toujours pas et les vacances déjà arrivèrent à son nez.
Je vous parle donc à présent de ces vacances. Celles qui viennent tout juste de s’achever. Ce qui veut dire aussi que j’en vient à la fin de mon récit. Alice m’a dit qu’elle allait souvent voir sa maman au cimetière et qu’elle y tenait dissimulée une boite dont seule elle et sa maman avait la clé. Sûrement y avait-il deux clés au petite cadenas rouge qu’elle y avait apposé. Aujourd’hui, elle est re retour à Poudlard, pour sa troisième année, et espère qu’elle se passera tout aussi bien que les années précédentes…
• - JOUEUR - •
•Prénom/Age :: Jennifer, 17 ans
•Pesonnage préféré dans Harry Potter :: Fred et Georges Weasley, ils sont géniaux et originaux !
•Comment avez vous connu ce forum? Si par quelqu’un, qui? :: Pourquoi me vouvoyer ? Voyons ! J’ai connu ce forum par un partenaire ou d’un top-site, je ne sais plus^^’
•Donnez-vous une note de 1 à 10 pour votre RP :: Tout dépend ce que vous considérez comme 1 et ce que vous considérez comme 10… Selon mon idée, mon type de rp ne vaut pas plus d’un 5…
•Avez-vous bien lu le règlement ? :: Oui bien sûre ! D’ailleurs… 
• - RP - •
•Exemple de RP :: Ne sauriez-vous pas attendre que je poste plutôt que de mettre ici des lignes qui n’ont aucun sens si ce n’est pas sur le forum dont s’en est l’histoire ?^^
Dernière édition par Ali Heaven le Dim 6 Sep - 20:38, édité 1 fois | |
| | | | Justin Rivelange
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| | Sujet: Re: [Serdaigle] Ali Heaven Ven 4 Sep - 15:39 | |
| Bonjour Alice ! Ta fiche déjà, est vraiment vraiment (vraiment ?) très bien ! Il y'a cependant quelques petites choses à modifier pour que tu sois répartie ! Le forum comptant peu de membres actifs, il serait bien que nous restions originaux en n'ayant pas de personnages ayant le même prénom. Et justement, nous avons une Alice ! (Alice Mayer, de Serdaigle) Si ça ne te dérange pas, ce serait gentil que tu changes le prénom de ton personnage, par un prénom qui ne serait pas pris ! Merci ! Ensuite, bien essayé, mais il te faut impérativement un exemple de rp ! xD Un que tu as déjà fait par exemple, tu n'es pas obligée d'écrire un post juste pour ta fiche, si un d'un autre forum te plait, ça nous ira aussi ! Bonne chance et bon courage !  | |
| | | | Ali Heaven
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| | Sujet: Re: [Serdaigle] Ali Heaven Sam 5 Sep - 20:46 | |
| Changer de prénom? '_' Ce personnage s'est toujours nommé Alice... Je ne vois pas quel autre nom pourrait lui aller, ça va parfaitement bien avec son caractère X.x Alors si tu as un prénom léger et doux à me proposer, ok, vas-y... En attendant, moi je n'ai pas d'idée d'un prénom suffisant jolie pour elle^^'
Ensuite, pour le rp, okey... Je vais aller en chercher un^^
PS: J'ai pas assez de place pour le rp d'exemple, donc je le poste ici^^' C'est un rp en JE... Mais je ne sais si je rprai en JE ici^^' La vie d’une personne au fil des pas qui résonnaient dans les couleurs. Ces pas allaient et allaient encore, de plus en plus vite, de plus en plus fréquents. Des pas de courses que j’effectuais pour sauver cette vie, ma vie. Personne ne semblait présent et pourtant, je savais que cinq personnes en plus de moi se trouvaient dans cet immeuble. Je les cherchais désespérément, quand enfin la voix d’un homme retentit. Les pas se firent plus lent jusqu’à s’arrêter totalement. Je me retourna avant de découvrir l’homme armé s’approcher de moi. L’un des survivants de cette voiture volante. Celui qui n’avait pas perdu connaissance. Certainement le plus fort, ou juste le plus chanceux. Je l’observa un instant, avant de baisser mon arme.
- Faut pas rester ici.
Je me retourna aussi vite que filèrent mes mots avant de reprendre mon élancée, l’homme fort derrière moi. On marchait vite, d’un pas commun. Lui avait le pied droit en avant, moi le pied gauche… Et à la seconde qui suivit, le contraire s’effectuait. Et toujours ainsi jusqu’à ce que face à nous, le conduction inconscient s’approchait, arme levée devant son nez. Selon moi, cet homme manquait sévèrement d’assurance et selon moi également, je semblais en avoir beaucoup trop pour une simple gamine de dix-sept ans. Je lui passa devant le nez, lui indiquant de me suivre. J’étais peut-être jeune, mais pas stupide. Les coups de fusil qui répercutaient un peu partout, c’était un signe propre. Il n’y avait pas que le zombie dont j’avais éclaté la cervelle qui était présent ici. Mais beaucoup d’autres encore. Et plus les coups de fusils se faisaient entendre, plus des zombies s’intéresseraient à nous. Enfant ou non, je savais au moins ça.
Et je m’éloigna, deux hommes à mes côtés. Quelle chance ! Je pouvais faire un vœu. Et mon vœu le plus cher en cet instant même était de retrouver Rise, le capitaine du bateau et son fidèle perroquet. Bon ok, j’étais méchante avec mes surnoms. Mais le général m’avait oublié et n’avait donc pas répondu à ma question. J’avais donc, il me semble, le droit de bouder un peu. Une fois à l’entrée, le point de rendez-vous, je fus désespérée à l’idée de ne pas y trouver mon gentil baby-sitter, si simplement appeler Rise. Je m’arrêta, me retournant vers mes deux nouveaux amis, cherchant du regard une réponse à ma question : Où était-il ?
- On fait quoi maintenant ?
Question bien plus polie qu’autre chose, car j’avais mes propres idées et les leurs ne seraient pas fort différentes à mon avis. Ma première idée serait de détacher le tissus retenant les portes et fuir par la porte d’entrée. L’autre était d’aller chercher les trois bonhommes verts au cas où ils seraient en danger. Troisième possibilité enfin, attendre ici l’arrivée probable de nos pseudo protecteurs, ou des affamés du bâtiment…
- Bon ! Je sais pas pour vous, mais moi… Je vais chercher Rise ! Le pauvre, si il tombe sur une infirmière affamée une seringue à la main…
Folle moi ? Non, pas du tout. J’avais entendu dire que Rise avait peur des aiguilles et des infirmières prête à piquer… Donc fallait le secourir. Une peur peut paralyser n’importe qui. Même un homme aussi courageux que le général. Et si l’adrénaline n’y était pas, il allait finir en brochette…
Aussi, j’étais partie retrouver l’homme que j’avais prit en sympathie, arme brandie dans ma main gauche. Il y avait combien de balles la dedans ? Six, huit, douze peut-être… En tout cas, j’avais pas intérêt à me retrouver face à quarante-deux zombies. Oui oui, exactement quarante-deux. Car il faut savoir que les zombies aiment les nombres pairs, sauf un qui est un nombre premier tellement merveilleux, et que quarante était bien trop précis, et puis en dessous, ça devient trop facile… Donc bref, quarante-deux était la limite pour s’en sortir presque vivant. Oui, je sais, ma théorie ne tient pas la route… Mais vous savez quoi ? On va sortir de mon esprit pour retourner à la situation réelle. Alors… Etats actuels des choses…
Je m’avançais vers le fond du bâtiment, à la recherche de notre ami terrifié des piqûres. Encore quelques pas et enfin, une silhouette se fit remarquer au bout du couloir que j’étais en train d’emprunter. Je m’arrêta, essayant de distinguer si c’était un zombie intrépide et solitaire, ou notre ami Rise terrorisé devant les murs blancs couverts de sang de cet hôpital macabre. Par chance, c’était lui ! Je m’approcha, un sourire rassuré aux lèvres ne plus être seule. Mais il ne m’accorda pas grand intérêt, bien trop pressé de retrouver la sortie, arme dans une main, talkie-walkie dans l’autre.
- Contente de vous voir vivant… Et merci pour le vent …
Je soupira avant de me mettre à le suivre, dans un pas aussi rapide que le sien. Je gardais mon souffle discret, me donnant l’impression d’étouffer, comme si mes côtes étaient bien trop serrées sur mes poumons, qui étaient broyés par mon cœur battant. J’avais peur de me faire repérer… Mais mes pas étaient bien plus dérangeants que le bruit de mon cœur, donc voilà… Si ils avaient les oreilles développées, ils m’avaient repérés depuis longtemps…
Rise disparut bientôt au coin du couloir, et pendant une courte seconde, je fus seule au monde… Seule ? Le mot n’était pas correct, soudainement… Je le sentais… Me stoppant nette, je me retourna lentement, le souffle court, il y avait quelque chose qui m’observait… Où ? Quoi ? Pourquoi ? Comment… ? Pourquoi ne vis-je personne ? Je refis face à mon chemin et…
- Kyaaaaaaaa….
Un gros zombie moche et pleins de boutons s’affichait devant moi, il avait les mains tendues vers ma poitrine, comme si malgré son état de mort-vivant, il gardait son esprit pervers d’adolescent en manque. Je fis un pas en arrière et par malchance, trébucha et lâcha mon arme. J’étais perdue… J’allais mourir… Déjà… Je voulais tuer une dizaine, voir une centaine de zombies avant moi ! Mais non, ce connard m’avait eu et j’étais à sa merci… Il s’approcha, bavant sur le sol…
PAN !
Le zombie s’écroula, sur moi… D’un geste dégouttée, je le repoussa, mon cœur me broyant les côtes en plus des poumons. J’avais mal… Si mal ! Pourquoi tout ce stress ? Je ferma les yeux pour tenter de mes calmer et les rouvrit sur ce cher Rise arme tendue devant lui. Promis, je ne moquerais plus jamais de lui ! Mes blagues idiotes sur lui et ses infirmières en blanc, c’était du passé. Dorénavant, il serait mon super-man non masqué. Il m’aida à me relever, j’attrapa mon arme et on s’approcha rapidement de l’entrée ou monsieur le général et son acolyte attendaient. Ou plutôt non… Ils s’en allaient. Ils fuyaient ? Sans leur ami ? Mais que des lâches !
Mais heureusement, en un rien de temps, nous nous retrouvions tous dehors, indemnes. Enfin, j’avais eu la peur de ma vie, mais dans un cas général, je n’étais pas blessée… Et les deux zozos, ils étaient où ? | |
| | | | Le Choixpeau Magique
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| | Sujet: Re: [Serdaigle] Ali Heaven Lun 7 Sep - 19:13 | |
| Une jeune fille sage et studieuse, ta place sera à SERDAIGLE !-RV- Bon jeu sur le forum Ali et bienvenue !! | |
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| | Sujet: Re: [Serdaigle] Ali Heaven | |
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