Nom : McAnith
Prénom : Irreph
Age (à partir de 18 ans): Né le 2 Novembre 1962.
Sang(sang pur,sang de bourbe...): Sang mêlé
Famille : Une sœur, Siofra qui est en Ecosse actuellement.
Etat civil : (Célibataire, Marié, Divorcé, Veuf) Célibataire
Votre ancienne maison à Poudlard ou dans une autre école de sorcellerie : Serdaigle
Métier : (Celui pour lequel vous souhaitez postuler) Mangemort
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Si vous voulez devenir professeur, veuillez m'envoyer par MP le programme que vous ferez suivre à vos élèves ainsi que vos motivations.
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Description physique : ( minimum 5 lignes qui correspondent à votre avatar )
Irreph a de très long cheveux noirs qui lui tombent jusqu’aux hanches. Il ne les a pas coupés depuis son passage à Azkaban. Ses yeux sont bleus-gris, et parfois inexpressifs, voire ternes, mais la plupart du temps, ils brillent d’une lueur maligne, lui donnant un air de fou. Il est plutôt grand, et s’est considérablement amaigri durant ses quelques années d’enfermement dans la prison. Il a des airs différents qui permettent de situer son état d'esprit. Sur sa main droite, dans sa paume, une Chaosphère a été gravée par un morceau de poterie tranchante.
Caractère : (Minimum 5 lignes)
Il est parfois pris de crises de folie, le rendant complètement fou, et surtout extrèmement violent. Heureusement, ces crises n’arrivent que rarement, et il passa la plupart du temps pour un simple Illuminé. Il lui arrive de redevenir lui-même, mais ce n’est pas souvent que l’on retrouve l’homme joyeux qu’il était. Il reste quelqu’un de triste et de sombre. Parfois il peut avoir l’air enfantin et bête, mais lorsqu’il est silencieux et que ses yeux ne sont pas grands ouverts, on sait qu’il est redevenu « normal ». Ses actions souvent chaotiques le rendent totalement imprévisible, autant pour ses alliés que pour ses ennemis.
Histoire :
(Racontez l’histoire de votre personnage. (Ecrivez au minimum 15 lignes )
En arrivant à Poudlard, Irreph avait été plus que surpris par la grandeur du château. Il n’avait que rarement vu un bâtiment d’une aussi grade taille. Irreph à fait sa scolarité en tant que Serdaigle, surtout parce qu’il aimait apprendre et qu’il faisait preuve d’une présence d’esprit peu commune, même si ses idées le ramenaient plutôt du côté des serpentards. Ses études se passèrent plutôt bien, si l’on oubliait les quelques railleries des Serdaigles qui le voyaient côtoyer les Serpentards.
Dès qu’il eut dix sept ans, à sa sortie de Poudlard, l’homme partit rejoindre les rangs des Mangemorts. Il était alors plutôt imposant, et faisait preuve d’une redoutable intelligence. Il gagna difficilement sa place, les autres ayant quelques préjugés sur lui, mais il se révéla être un bon élément. C’était surtout sa maison qui posait problème. En effet, un Serdaigle ne se joignait jamais à un groupe comme celui des Mangemorts. Après une période d’essai et de missions ingrates, il réussit à se faire voir aussi bien que les Serpentards.
Le sort le plus utilisé par Irreph fut l’Imperium. Sa force mentale lui permettait de prendre facilement contrôle de la plupart des personnes. A ce jour, c’est plus dur pour lui, et il préfère utiliser le Doloris.
Il était plutôt un bon serviteur du Maître, mais il se fit capturer lorsqu’il torturait deux hommes, partisans de la cause des moldus. Sa culpabilité étant sûre, il fut directement condamné à aller à Azkaban.
La prison le rendit fou, et extrêmement violent. Il tua un moldu, avec ses mains, lorsqu’il se retrouva dehors. Baignant dans le sang, il fut conduit par deux Mangemorts au Quartier Général.
Si on lui demande ce dont il se rappelle, les deux seules choses qu’il peut dire, c’est des murs de sa prison, et d’un visage de fille, dont le nom lui échappe. Il a presque tout oublié de ce qu’il a fait avant de sortir d’Azkaban. Il connaît néanmoins encore les sorts et ses réflexes ne sont pas à mettre en doute.
Aime : Prévert, Baudelaire, et deux ou trois autres poèmes. Le Seigneur, bien sûr, la douleur des autres. Les écrits de Michael Moorcock et de H.P. Lovecraft aussi.
N’aime pas : L'ennui, c'est... ennuyant... Harry Potter, comment peut-on être célèbre et n'avoir rien fait? Les moldus, et leur haine de la magie. Comment peut-on haïr quelque chose de si magnifique?
Baguette :
- Le bois : If
- Taille en cm : 27
- Morceau de créatures magiques : Nerf de cœur de dragon
Signe particulier : ( une cicatrice, une marque quelconque, tatouage ) La marque des ténèbres sur son bras gauche, la Chaosphère scarifiée sur sa paume droite.
Exemple de RP :(le plus long possible)
La salle était plutôt humide, et l’eau goûtait à quelques endroits du plafond. Une lampe à pétrole perçait difficilement l’obscurité régnante. Une forme, semblable à un être humain était assise sur le bord d’une grosse caisse en bois. Il portait une sorte de robe, dont le torse et les bras étaient déchirés et très abîmés. Une marque ornait son bras gauche, une tête de mort, avec un serpent. L’homme tenait un morceau de bois dans la main droite, qu’il braquait sur un rat.
Impero.
Sa voix était douce, et presque enfantine. Le rat faisait des tours sur lui même, et il roulait sur son dos. Une lueur brilla dans les yeux de l’homme, qui tout à cou murmura à nouveau un autre mot.
Endoloris.
La voix de l’homme était toujours douce, mais elle ne ressemblait plus à celle d’un homme simple d’esprit, mais plus à celle d’un psychopathe. D’ailleurs le rat paraissait se tordre de douleur, et il émettait parfois quelques petits couinements. L’homme parût se lasser, puis il posa le morceau de bois sur la caisse, et ramassa quelque chose sur le sol. C’était un livre, avec une couverture noire et quelques lettres tracées en rouge dessus. Il le lût quelques instants avant de murmurer quelques mots, pour lui, ou pour le rat.
Mais dans tes yeux entr'ouverts
Deux petites vagues sont restées
Démons et merveilles
Vents et marées
deux petites vagues pour me noyer*
Il y eut un léger craquement, et l’homme reprit le morceau de bois, qu’il pointa dans la direction du bruit. Un moment de silence pesant régna dans la pièce avant qu’il ne sourie, puis rie. Il se calma, et murmura les mêmes mots qu’avant.
Endoloris.
Il y eut un hurlement de douleur, puis des simples gémissement, et plus rien du tout. Un air triste pût se lire sur le visage de l’homme qui laissa le moldu sur le sol sans s’en intéresser. Il ne l’amusait plus. Il reprit sa lecture, une larme coulant de son œil, qui fût bien vite absorbée par la page.
*Prévert, Sables Mouvants In Paroles.
Prouvez-nous que vous avez-lu le règlement:
Dans l'histoire, très chers amis.
A part ça, il faudrait me donner le code de la couleur du groupe, je l'ai pas trouvé... Donc, la couleur de mon post est pas la bonne. Merci d'avance.