[SERPENTARD] Candice Dunn

Candice Jade Alettore Dunn

JOUEUR Votre prénom/âge: Marie, 20 ans Comment avez-vous connu ce forum ? Google est vraiment mon meilleur ami Personnalité réservée pour votre avatar : Candice Accola Avez-vous bien lu le règlement? IDENTITÉ DU PERSONNAGE Nom:Dunn Prénoms :Candice Jade Date de naissance : 01/08/1976 Âge : 15 ans Année : 5ème Poste prédéfini ? NON Sang : Pur Baguette : Bois d'orme, 27 cm, dent de vampire Maison désirée : Serpentard

PERSONNALITÉ DU PERSONNAGE Description physique : (7 lignes minimum) Si je vous disais, là tout de suite, que les descendants maternels directs de Candice sont italiens, vous ne me croiriez pas. Evidemment, puisque c’est plutôt le gène germanique de son paternel qui s’est manifesté chez elle. Et ça n’est plus à prouver : l’adolescente arbore une épaisse crinière blonde, légèrement ondulée, qu’elle coiffe négligemment. Lâche ou en chignon désordonné, elle encadre un visage fin et harmonieux malgré des traits un tantinet plus durs qu’elle ne l’aurait voulu. Ce qu’elle préfère chez elle n’est sûrement pas son petit nez discrètement recourbé ni ses lèvres fines qui s’étirent souvent en un sourire rayonnant. Non, en fait, il s’agit plutôt de son regard d’un bleu au moins aussi turquoise que les eaux tropicales des îles paradisiaques où tout le monde a déjà rêvé au moins une fois de s’y baigner. Et ils brillent d’une intelligence et d’une vivacité qui reflètent plutôt bien son caractère bien trempé. Adolescente rebelle dans toute sa splendeur, jouer les poupées barbies n’est toutefois pas sa préoccupation première. De toute façon, elle n’en a vraiment pas le physique étant donné sa taille ridiculement petite. En effet, elle ne dépasse pas le mètre soixante bien qu’elle ai déjà sans doute sa taille définitive. Qualités : (7 lignes minimum) Si Candice n’a vraiment pas le physique d’une italienne, elle en a, en revanche, le tempérament de feu. Dynamique, fraîche et pétillante c’en est le côté appréciable. Une vraie petite boule de nerf et d’énergie, toujours partante pour sortir et s’amuser. L’adolescente est vraiment très sociable, amicale et facile à aborder même s’il faut voir à ne pas pousser mémé dans les orties. Cela dit, elle est toujours prête à aider ses proches et ses amis quand la situation l’impose. La bonne humeur fait également – ou du moins régulièrement – partie de son quotidien. Et comme elle est gentille et bien attentionnée elle tentera le plus souvent de la faire partager. Ambitieuse, elle l'est et encore une fois, elle peut remercier ses aïeuls germaniques pour toute la patience et la détermination dont elle fait preuve dès lors qu'elle prend une décision. Défauts : (7 lignes minimum) Si le tempérament de feu de l’adolescente a ses bons côtés, il peut très vite en exister de mauvais, et notamment le fait qu’elle a bel et bien hérité du sang chaud de sa mère. Mieux vaut éviter de la pousser à bout – à moins d’être un peu suicidaire sur les bords – car elle se transformera en véritable furie. De plus, dans ces cas là, elle est très rancunière – joli petit défaut qu’elle a hérité de son cher père – et emploiera tous ses moyens à se venger du misérable qui a oser lui faire affront, quitte à se faire passer un sacré savon après. Aimer les choses biens faites, c'est bien... Mais sûrement pas au point d'en devenir maniaque. L'avantage reste quand même qu'elle est très ordonnée. Cependant, si un crayon est rangé à un millimètre près de sa place habituelle, elle le remettra directement en place, de même si sa valise a été déplacée d'un mètre ou pire si ses draps laissent voir le moindre pli. Signe particulier : Candice a un tatouage de raie manta aux ailes déployé sur l’omoplate droite. Histoire :(15 lignes minimum) Le premier Août 1976 naquit Candice Jade Alettore Dunn dans un hôpital réputé de Berlin. A l’époque, elle était déjà la seconde enfant de Karl et Andréa – Alettore de son nom de jeune fille – Dunn. En effet, un an auparavant avait vu le jour dans le même hôpital Théodore Alessio Alettore Dunn, le frère aînée de la petite Candice. Sa mère, seule et unique héritière d’une ancienne et illustre famille de sang-pur italienne, était journaliste de son état ; au contraire, son père, dernier d’une fratrie de cinq enfant, héritier – lui aussi – d’une famille de sang-pur allemande, s’était illustré en tant qu’auror. Quoi qu’il en soit, tous deux avaient rompu avec leurs traditions familiales qui les aurait du les mener tout droit à Serpentard – oui, car ils ont bien évidemment fait leurs études à Poudlard. En effet, sa mère avait été envoyé à Serdaigle tandis que son père à Gryffondor. Du coup, Candice n’a jamais eu de rapport avec ses grands-parents paternels et maternels. Deux ans après sa naissance, suivit celle de Mathis Igor Alettore Dunn. Entourée de deux frères, elle devait donc se forger un caractère bien à elle afin de ne pas se laisser marcher sur les pieds. Elle n’a pas beaucoup de souvenir de ses quatre premières années ou seulement à travers les récits de ses parents. Elle se souvenait simplement avoir habité Berlin jusque ses trois ans avant que ses parents ne déménagent à Londres. Après tout, c’est assez marquant pour une petite fille d’arriver dans un pays inconnu, de changer de chambre, et de voir des gens bizarres parler une langue bizarre et incompréhensible. Mais comme elle devait y demeurer longtemps, la transition se fit relativement vite comparé à son grand frère. C’est sûr que quand on doit abandonner sa langue maternelle, ce n’est pas vraiment facile. A l’âge de six ans, elle découvre ses premiers pouvoirs et pour marquer l’évènement, ses parents lui offrirent un chaton qu’elle nomma Citrouille. L’année de ses dix ans, fut marquée par l’entrée à Poudlard de Théodore. Ce fut une véritable déchirure car, n’ayant qu’un an d’écart qu’un an d’écart avec Candice, ils étaient très complices. Aux yeux de Mathis, c’était carrément son idole qui partait. Et pour Karl et Andréa, cela faisait un sacré coup de vieux. L’année suivante, se fut donc à son tour d’entrer dans la fameuse école de sorcellerie, laissant Mathis seul en tête-à-tête avec leurs parents. Le garçon était très triste car qui allait être son compagnon de jeu désormais ? Le premier Septembre 1987, Candice entrait à Poudlard pour la première fois, rejoignant son frère à Serpentard. Voilà qui aurait fait le bonheur de ses grand-parents s’ils avaient su. Avec ses cours de potions, de DCFM – qui lui plaisait beaucoup d’ailleurs – métamorphoses (et autres) et ses nouveaux amis de Serpentard, Gryffondor, Serdaigle ou Poufsouffle, les années passaient relativement vite. A Noël, elle retournait toujours chez elle en vacance avec Théodore bien sûr. Et chaque année Mathis était si heureux de voir revenir ses compagnons de jeu. En 1989, ce fut donc au tour de Mathis de rejoindre son frère et sa sœur. Lui, cependant, fut envoyé à Gryffondor. L’an passé, pour la première fois de sa courte vie, Candice est tombé amoureuse : c’était un élève de Gryffondor, du même âge qu’elle, répondant du doux nom de Sébastien. L’adolescente n’avait d’yeux que pour lui. Au contraire, et ce pour son plus grand désespoir, il ne semblait même pas l’avoir remarqué. C’était comme si elle était transparente. Alors elle se confiait à Léa, sa meilleure amie, parlant de son plus grand malheur : celui d’être tombée amoureuse d’un imbécile qui ne la regarde même pas. Alors en ce début d'année, elle repart à Poudlard avec la ferme intention d'oublier ce garçon. Quoi que... la tentation de lui mener une longue année d'Enfer était particulièrement tentant!! RP Exemple de RP : (Je tiens à préciser que pour l'exemple de Rp, j'ai pris celui d'un de mes personnages sur un autre forum) Silence... Apparemment, Kaunis n'était pas d'humeur bavarde, pas du tout même. Tant pis alors! Elya n'attendit pas plus longtemps après une réponse qui ne viendrait pas. Si la jeune femme était de nature plutôt amicale, et de surcroît une emmerdeuse née, elle n'aimait cependant pas tellement jouer les « pots de colle ». De toute façon, si finalement Kaunis voulait un peu de compagnie, elle la rattraperait bien assez rapidement. Non pas qu'elle ait tout son temps, mais Elya ne tenait pas vraiment à se dépêcher pour rentrer au Domaine où aurait lieu son prochain cours. L'endroit lui fichait la chair de poule. Pourtant elle avait eu le temps de s'y habituer quelque peu avant de commencer sa formation. En tout cas, une chose était sûre, une fois Envoleuse, Elya s'appliquerait sûrement à mettre le plus de distance possible en ce lieu sinistre et elle-même. Paradoxal pour quelqu'un qui n'avait jamais apprécié plus que cela la douce lumière du soleil! Elya leva la tête, son regard attiré par un mouvement. Cependant, elle n'aperçut que le gris sombre et menaçant des nuages flottant dans le ciel. Un premier grondement sourd retentit alors qu'un éclair fendait l'horizon au loin. La jeune femme grimaça à l'idée de la saucée qu'elle allait prendre. Au moins je ne serais pas toute seule! Elya avait perçu un autre mouvement, au-dessus d'elle. Elle en était certaine à présent, elle était suivie. Par quoi? Elle l'ignorait, mais quoi que ce fut, ça ne faisait pas grand chose pour cacher sa présence. Jugeant qu'il était beaucoup trop tard pour redescendre, Elya continua à longer l'étroit passage à flanc de montagne. Le tonnerre grondait méchamment et bientôt la pluie tomberait averse. Un léger crachin perlait déjà sur sa peau. Ce n'était pas très recommandé d'entamer l'ascension des Dentelles Vives en plein orage, mais Elya ne s'était pas douté au réveil que le temps se dégraderait à ce point. Tant pis, la prochaine fois elle serait plus prévoyante! De tout façon il était trop tard pour reculer. Au fur et à mesure qu'elle avançait, le chemin se rétrécissait considérablement. La jeune femme chercha la meilleure prise pour commencer l'ascension. Elle la trouva rapidement. Pas trop glissante, pas trop grande. Une prise parfaite. Ses doigts crochetèrent donc l'interstice qu'offrait la paroi particulièrement abrupte. Et comme un réflexe, le reste de son corps suivit le mouvement ascendant. La présence était toute proche et Elya avait plus que jamais l'impression de se sentir observée. Dès qu'elle aurait pris un peu de hauteur, elle en saurait certainement plus sur « l'autre ». La pluie tombait averse à présent. Le tonnerre alliait son grondement tonitruant à la lumière presque aveuglante des éclairs qui zébraient le ciel. Elya se concentra au maximum. Voilà qui était une situation réellement périlleuse. Les prises étaient de plus en plus glissantes, tandis que la pierre s'effritait considérablement. Cependant, la jeune femme sourit malgré elle, comme un nouveau défi à la mort. Voyons si tu oseras venir me chercher jusque-là! Évidemment, à son grand désespoir, ce pas non plus aujourd'hui qu'elle réussirait à connaître la douleur. A vrai dire, elle ne la connaîtrait jamais. Cette fichue maladie avait ses bons côtés comme ses mauvais!! En levant la tête, Elya perçut une sorte de petite cavité située à une vingtaine de mètres au dessus de d'elle. Avec un peu de chance, elle serait assez grande pour qu'elle puisse s'y glisser et attendre la fin de l'orage avant de reprendre l'ascension des Dentelles. Sa main vint agripper une étroite faille verticale et ce qui devait arriver arriva. Elle dérapa et ne chuta que de quelques mètres sa main se coinçant au niveau du poignet dans une interstice étonnamment étroite de l'immense faille verticale qu'elle avait abordée quelques minutes plus tôt. Dans un réflexe, elle ferma les yeux. Mais elle ne hurla pas. Sous l'effet de la frayeur, aucun son n'avait pu sortir de sa bouche. Elle attendit tout contre la paroi que les battements effrénés de son cœur ralentissent avant de recommencer à grimper. Enfin, d'essayer de recommencer à grimper… Car elle remarqua, dépitée, que sa main était fichtrement bien coincée. Elle lutta avec toute l'énergie du désespoir pour essayer de se dégager, sans y parvenir. Alors elle replia les jambes. Et ne bougea plus. Les cheveux dégoulinant dans son dos, grelotant presque de froid, Elya éclata de rire. Elle rit nerveusement. Voilà qui tombait à merveille!!